Raïssa habite depuis dix ans dans le quartier. Elle y connaît, surtout, d’autres mères de famille dont les enfants fréquentent l’école Lucie Aubrac comme les siens. Ou les voisins/voisines qu’elles rencontrent dans les fêtes de quartier auxquelles elle prête main forte. Comme
La Fête du vélo, un joyeux succès.  Ou le Printemps des voisins : « La première année, on a eu une vingtaine de personnes, surtout des femmes et des enfants. On était passé inviter les gens chez eux. L’année suivante, il y avait moins de monde. Quand on ne va pas frapper aux portes... Mais ça se fait dans plusieurs rues. Nous, on est allé à trois Printemps des voisins. »

Même s’il n’est pas toujours facile de lier connaissance avec les habitant.es du groupe d’immeubles qui fait face à sa maison, l’ambiance est tranquille.